"La mer qu'on voit danser"
chantait notre regretté..Charles.
Elle est magnifique sous le soleil,
"le long de ses golfes clairs".
Symbole de vacances et de farniente,
elle est aussi le défit de luttes sans limites.
Efforts parfois si cruels,
Il est difficile de se battre contre elle.
Elle tente et elle aguiche
pour mieux engloutir ceux qu'elle appelle.
Combien ont été engloutis pour son charme,
Où par nécessité.
Pauvres migrants partant sur un "kwoza"
espérant un eldorado.
La mer est cruelle elle ne pardonne pas.
Si un chemin est rude,
La terre permets de déposer son sac,
de s'allonger,
contre un arbre mettre son dos.
La mer ne permets aucun répits.
Et j'admire le courage de ses peuples
Risquant le tout pour le tout
Dans une misère infinie
Arriver vers un ailleurs
qui est loin d'être le bonheur